Michel Preud'homme: "Les matches contre Charleroi sont devenus importants pour le Standard"
Le Standard retrouvera le Sporting Charleroi ce samedi à 18h00 pour le premier choc wallon de la saison. Gojko Cimirot et Michel Preud'homme se confient avant la réception des Zèbres.
- Publié le 14-09-2018 à 14h54
- Mis à jour le 14-09-2018 à 15h41
Le Standard retrouvera le Sporting Charleroi ce samedi à 18h00 pour le premier choc wallon de la saison. Gojko Cimirot et Michel Preud'homme se confient avant la réception des Zèbres.
Gojko Cimirot est revenu sur la rencontre perdue sur la pelouse d'Eupen et sur ses derniers mois au Standard: "Sur la pelouse d'Eupen, nous avons bien joué en première période, nous avons essayé de marquer le deuxième but et nous avons eu des occasions. Mais ce but n'est jamais tombé et en seconde période nous avons moins bien joué. Et il y a eu ces deux buts encaissés en fin de match. Je suis très content du club et du travail qui est réalisé avec le staff. Comparer la façon de travailler de Sa Pinto et de Preud'homme n'est pas possible car ils ont des philosophies différentes. Il y a eu la deuxième place la saison dernière et la victoire en Coupe, mais maintenant nous nous occupons de cette saison."
Michel Preud'homme veut lui s'appuyer sur la fameuse défaite au Kerhweg et loue la personnalité de Felice Mazzù: "Nous avons vu les chiffres de la défaite à Eupen et nous avons montré les chiffres aux joueurs. Une des raisons de ce mauvais résultat, c'est que certains joueurs n'ont pas couru assez. J'ai profité de ce break pour faire un bilan de ce qui n'a pas été depuis le début de l'année et ce que je remarque c'est que les joueurs ont la volonté de suivre les règles, elles ne sont cependant pas encore bien comprises. Un match contre Charleroi est devenu important pour le Standard. Lors de mon époque, pour Charleroi, la réception du Standard était quelque chose de marquant, maintenant on sent que cela a changé. Nous connaissons l'importance de cette rencontre. Felice Mazzù? J'ai beaucoup de respect pour lui et pour son travail, et ce depuis mon arrivée à Bruges. Il a eu une approche respectueuse envers moi et c'est quelque chose que j'ai apprécié. Des liens se sont alors créés."