Judo : Nouvelle luxation de l'épaule pour Toma Nikiforov !
Alors qu’il entrevoyait son retour à la compétition, le 4 novembre, à Perth, le Bruxellois s'est à nouveau blessé, cette fois à l'épaule droite...
- Publié le 24-10-2019 à 19h01
- Mis à jour le 24-10-2019 à 20h31
Alors qu’il entrevoyait son retour à la compétition, le 4 novembre, à Perth, le Bruxellois s'est à nouveau blessé, cette fois à l'épaule droite...
Nouveau coup particulièrement dur pour Toma Nikiforov ! Le Bruxellois est, en effet, victime d’une nouvelle luxation de l’épaule, la droite cette fois…
Alors qu’il entrevoyait son retour à la compétition, le 4 novembre, à Perth (Australie), Toma a d’ores et déjà déclaré forfait pour ce rendez-vous.
"Toma s’est blessé à l’entraînement, à Wilrijk !" raconte Damiano Martinuzzi. "L’incident s’est passé en fin de séance, lors du dernier randori. Toma combattait contre un -90 kg qui lui a résisté lors d’un mouvement de projection. Toma a insisté et son épaule s’est déboîtée. Impossible, ensuite, de la remettre en place. Heureusement, l’ambulance est arrivée très vite pour l’emmener à l’hôpital. Je l’ai suivi en voiture..."
Sur place, aux urgences, Toma Nikiforov a été carrément endormi pour qu’on puisse lui remettre cette fameuse épaule droite dans son logement.
"Il a, ensuite, passé une radio, puis un scanner, qui ont révélé une lésion à la capsule et au bourrelet..." enchaîne Damiano. "Maintenant, il doit attendre une à deux semaines avant de se soumettre à un test clinique visant à vérifier la stabilité de son épaule. Si elle est stable, tant mieux ! Sinon, il devra malheureusement subir une nouvelle opération, la même que celle dont il sort. Mais on n’en est pas là."
Dans ce deuxième cas, le Bruxellois risque une nouvelle revalidation de quatre mois ! La poisse s’acharne décidément sur notre champion d'Europe 2018… Et, surtout, cette absence des tatamis de compétition le mènerait, au plus tôt, à mi-février, ce qui hypothéquerait inévitablement sa qualification pour les Jeux de Tokyo...
Mais Damiano Martinuzzi a raison : on n'en est pas là !