Un peu de rationnel à Sclessin que diable !
"Ce côté émotionnel, on ne l’a pas banni chez les garçons. Il fait partie de leur ADN voire même de celui du club."
- Publié le 30-03-2019 à 13h01
"Ce côté émotionnel, on ne l’a pas banni chez les garçons. Il fait partie de leur ADN voire même de celui du club."
Durant la semaine, Emilio Ferrera nous expliquait comment le staff liégeois tentait de gérer ce facteur émotions qui est si puissant chez les Liégeois et davantage à Sclessin. Comme contre Waasland-Beveren, le Standard est revenu au caractère, à la grinta, celle qui lui a fait jouer le titre la saison dernière, mais également à la faveur d’une réorganisation tactique. C’est donc de nouveau à l’émotion que le Standard s’est sorti les tripes face à des Anversois qui avaient parfaitement joué le jeu durant plus de 45 minutes.
Le feu de Sclessin sera assurément l’atout numéro un des Standardmen durant ces PO1, car oui, il s’y passe toujours quelque chose. Mais ce qui s’est de nouveau déroulé vendredi soir devant un stade en pleine hystérie doit, de nouveau, faire réfléchir Michel Preud’homme et ses hommes.
Ce Standard se doit de retrouver un peu de rationalité, tout en conservant ce côté émotionnel qui le sauve si souvent, s’il souhaite…. jouer les premiers rôles.