L'Olympic réalise la bonne affaire en D1 amateurs après sa victoire à Seraing
Alex Czernia gagne pour la seconde fois de rang au Pairay, un de ses anciens jardins.
- Publié le 14-10-2019 à 09h08
- Mis à jour le 14-10-2019 à 09h09
Alex Czernia gagne pour la seconde fois de rang au Pairay, un de ses anciens jardins.
Où vont s’arrêter les Carolos ? Bien mis en place par Alexandre Czerniatynski, ils ont déjoué les plans d’une formation sérésienne vive et compétitive.
"Avec la vitesse présente dans leurs rangs, on voulait éviter de leur offrir des espaces. Pour cela, il fallait voir tous les joueurs remplir leur mission au mieux. Tous ont répondu, comme c’est le cas depuis le début de la saison. De plus, on a su se ménager l’une ou l’autre possibilité et jouer sur leurs points faibles. Je tiens à souligner le côté percutant de mon attaque car on n’a pas toujours été aussi efficaces."
Comme l’an dernier (0-1, sur penalty), l’ancien coach de Seraing vient gagner au Pairay en ouvrant la marque après un coup de réparation. "Lorsque l’on évolue chez une telle équipe, il faut prioritairement éviter de la voir ouvrir la marque. Car, si tel est le cas, elle fait joujou avec vous par la suite. On a eu le bonheur et la réussite d’ouvrir la marque."
Lors du premier acte, c’est même Werner qui avait l’intervention la plus délicate à réaliser sur une tête de Khaida.
Après le repos et la réduction du score par Boulenger, l’ancien Zèbre, les Olympiens ont subi. "Nos hôtes ont joué un cran plus haut et on a souffert, inutile de le nier. S’ils avaient entamé le match sur un rythme aussi élevé que celui mis en seconde période, on aurait eu encore bien plus de mal à résister. D’ailleurs, j’ai eu 4-5 joueurs victimes de crampes. Cela confirme leur engagement total et sans limite. Bravo à eux."
Et voilà Alex et les siens dribblant Seraing au général après avoir vaincu Tubize. "Engranger six unités lors de ces deux déplacements est totalement inespéré. Glaner deux ou trois points aurait déjà été correct."
Et voilà comment l’ancien coach métallo joue à nouveau un mauvais tour à son ancien employeur liégeois…