L'ex joueur de D1 Matumona Zola signe en P2, à Colfontaine
Le FC Colfontaine vient de réaliser un (premier) coup fumant en attirant l'ancien joueur de Mons ou du Brussels
- Publié le 01-08-2018 à 09h35
- Mis à jour le 01-08-2018 à 09h37
Le FC Colfontaine vient de réaliser un (premier) coup fumant en attirant l'ancien joueur de Mons ou du Brussels Heureusement que Fernandino Saporito, le propriétaire du club de Colfontaine, est de nature optimiste et ne baisse pas facilement les bras. Ce que vient de vivre le club promu en P2 est hallucinant mais ce qu’on retiendra, c’est qu’il semble s’en être remis.
"Début juin, dès le lendemain de notre assemblée générale, de nombreux joueurs ont sollicité leur transfert et il ne restait plus il y a quinze jours que quatre joueurs dans le noyau. J’ai fait le tour des clubs que je connais pour essayer d’attirer des jeunes et Jean-Philippe Charlet en a fait de même. Finalement, nous étions une quarantaine au dernier entraînement."
Et l’optimisme est de rigueur… "Ce sont beaucoup de jeunes et ils n’ont été battus que 2-0 au Roeulx en Coupe de Belgique, alors que beaucoup de joueurs plus expérimentés n’étaient pas encore qualifiés. Je suis confiant pour qu’on puisse atteindre l’objectif que l’on s’était fixé, à savoir le maintien."
Mais à côté de ces jeunes, il y aura des pointures. Le club a en effet officialisé hier la signature de Matumona Zola qui a fait vibrer les supporters de l’Albert durant plusieurs saisons.
"Il va nous apporter beaucoup et il amène avec lui deux de ses copains. Nous sommes aussi en contact avec Moussa Sanogo, lui aussi ancien Montois. Nous nous reverrons le 15 août mais c’est en bonne voie."
Enfin, le club a continué sa reconstruction en attirant David Saavedra comme T1.
"On n’a discuté qu’une journée et avec l’équipe qui sera à sa disposition, je crois que c’est un beau challenge pour lui."
Bref, tout roule pour les Colfontainois après une belle frayeur. N’oubliant pas de remercier Pâturages et la commune de Colfontaine qui leur permettent d’enfin jouer chez eux, les Borains restent à la recherche d’un président-mécène pour donner un coup de main à la petite structure en place. Qui voit l’avenir avec optimisme.