Orlando Sa: "On peut être fier de ce qu’on a fait"
Orlando Sa était heureux d’avoir pu regarder l’Ajax dans le blanc des yeux
- Publié le 08-08-2018 à 10h25
- Mis à jour le 08-08-2018 à 12h45
Orlando Sa était heureux d’avoir pu regarder l’Ajax dans le blanc des yeux Avec seulement 60 minutes de temps de jeu dans les jambes face à OHL, Orlando Sa a été relancé dans le grand bain de Sclessin. Le Portugais aura connu une soirée contrastée.
Quel est votre sentiment après ce partage ?
"Je pense que les supporters présents ont apprécié le moment avec deux équipes qui proposaient un football positif. Le partage me semble logique."
Un mot sur votre prestation ?
"C’était mon premier match après plusieurs entraînements intensifs pour pouvoir aider l’équipe. Je savais que je n’étais pas en condition pour jouer tout le match mais j’ai fait de mon mieux. Je suis certain que, dans quelques semaines, mon niveau sera bien plus élevé. Le coach a fait appel à moi et j’ai voulu lui rendre la pareille."
Vous avez eu une grosse opportunité.
"Oui mais le ballon arrive un peu derrière moi, ce n’était pas facile. Je dois revoir l’action."
Avec ce résultat, tout reste jouable..
"Bien entendu mais à condition de corriger nos petites erreurs sur les deux buts encaissés. On a eu plus d’occasions qu’eux mais au final, c’est 2-2. Quand on a le contrôle sur le jeu, on ne peut jamais concéder ces buts."
C’est pour ce genre de soirée que vous êtes revenu ?
"C'est pour ces matches qu’un joueur se sent en vie. Retrouver mon stade, ces magnifiques supporters et mes équipiers, c’est magnifique."
Vous avez regardé l’Ajax dans le blanc des yeux en seconde période.
"On doit être fier de ce qu’on a fait. L’Ajax a une équipe de qualité, c’était dur pour nous mais, à l’arrivée, tout est encore jouable pour nous. Quand on voit les noms qui composent cette équipe, les investissements consentis, oui, l’Ajax est favori. Mais on a prouvé qu’on pouvait rivaliser avec eux c’est pourquoi je pense qu’on peut le faire à Amsterdam. Le positif est que nous avons joué notre jeu face à un gros morceau. Mais encore une fois, avec trois occasions, l’adversaire ne peut marquer deux fois."