Akram Afif: "Là, je peux me focaliser sur Eupen"
- Publié le 17-09-2017 à 10h23
- Mis à jour le 17-09-2017 à 10h24
Arrivé tardivement au Kehrweg avant de répondre aux sélections du Qatar, Akram Hassan Afif Yahya Afif n’a encore rien apporté à Eupen. Début d’un nouveau chapitre ce soir ? Va-t-on assister au réveil des Pandas ce dimanche soir ?
En tout cas, on attend une grosse réaction par rapport à la désillusion de Waasland. Qu’elle soit collective ou individuelle. Sur ce dernier plan, Akram Afif est l’un des joueurs les plus visés. "Revenir en arrière et se lamenter sur notre défaite du week-end dernier ne sert plus à rien. Le plus important est, aujourd’hui, de regarder vers l’avant et de ne songer qu’au Standard."
Après avoir connu un échec lors de son arrivée à Villareal et un prêt, immédiat, qui se termine par une relégation à Gijon, Akram Afif ne connaît pas un début de saison idéal.
Notamment en raison de son équipe nationale du Qatar, avec qui il n’a pas réussi à se qualifier pour la Coupe du Monde 2018 en Russie. Des voyages qui ont aussi perturbé son intégration tactique à l’Alliance.
"Avec l’équipe nationale, nous avons connu trois coaches lors de nos dix matches de qualification. Bien sûr, nous venons de connaître un très mauvais moment avec cette élimination, mais on doit apprendre pour le futur. Afin d’être prêt pour 2022."
Concernant Eupen, le flanc précise. "Je suis arrivé tardivement. Puis il y a eu les convocations internationales et je n’ai pu disputer que trois des six matches de championnat avec les Pandas. Ce n’est pas toujours aisé de combiner les déplacements, la récupération et la performance. Désormais, je peux me focaliser sur Eupen puisqu’il n’y a plus de rendez-vous internationaux."
Dès lors, si tous ses regards se concentrent sur le sort de l’Alliance, va-t-on voir le vrai Afif ? Celui qui est considéré, au Qatar, comme l’une des plus belles pépites du pays !
"Le Standard reste une grande équipe. Eupen les avait accrochés l’an dernier, pourquoi ne le ferions-nous pas ce dimanche ?"
En face, il retrouvera Duje Cop, son ancien équipier à Gijon. "Ah bon! Il joue au Standard", s’étonnait Afif.