Vincent Milito : "Je prends ce retour comme un challenge"
Vincent Milito revient à Péruwelz avec l’envie d’apporter son vécu.
- Publié le 08-06-2019 à 11h06
Vincent Milito revient à Péruwelz avec l’envie d’apporter son vécu. Ce n’est pas un retour aux sources mais tout de même. Après des passages au RRC Péruwelz, aux Géants athois et à Renaix, Vincent Milito retrouvera donc la Verte Chasse cet été. Le milieu de terrain français, qui se prépare à fêter ses 31ans, s’est lié avec le Péruwelz FC. "Cette saison, j’étais reparti en France, à la Sentinelle, près de Valenciennes", explique Vincent.
En revenant à Péruwelz, il ne débarquera pas en terrain inconnu, c’est le moins qu’on puisse dire.
"C’est vrai, puisque de nombreux membres du comité étaient déjà là du temps où j’évoluais au RRC Péruwelz en D3. Au sein du noyau, il y a aussi deux ou troisjoueurs que je connais bien. Et concernant le coach, Jonathan Krys, j’ai joué avec lui à Ath. Nous avons discuté avec le T1 et les dirigeants et de fil en aiguille, nous avons senti qu’une collaboration était possible. On s’est bien compris."
Vincent a donc décidé de revenir en Belgique pour toutes ces raisons. "Je prends ce transfert comme un nouveau challenge." Le tout, il l’espère, dans une bonne ambiance. Et ce devrait être le cas.
À propos des attentes du club par rapport à lui, il les connaît. "Je devrai apporter mon vécu, mon expérience. J’ai déjà évolué une dizaine d’années en Belgique. Maintenant, la P1, je dois avouer que je ne la connais pas trop. Mais j’aurai le temps de prendre mes marques en préparation."
Quant à son poste de prédilection, il ne s’en cache pas. "J’ai toujours aimé jouer dans un rôle axial en milieu de terrain, comme relayeur. Maintenant, ce sera au coach de décider là où il veut me voir jouer."
Entre la fin de saison du Péruwelz FC et la sienne, Vincent Milito n’a pas encore eu le temps nécessaire pour discuter des objectifs du club en vue de la saison prochaine. Mais à Péruwelz, on n’a pas vraiment envie de jouer le bas de tableau. Et Vincent non plus. Ça tombe bien !