"Il y a peut-être de la place pour passer"
Maxime Pecquereau et Molenbaix sont à une marche d’une accession historique.
- Publié le 24-05-2019 à 00h00
- Mis à jour le 24-05-2019 à 22h14
Maxime Pecquereau et Molenbaix sont à une marche d’une accession historique. Molenbaix est à une marche d’une accession historique en P1. Les hommes de Frédéric Debaisieux se déplacent à Pâturages, barragiste de P1. Pas une mission facile mais pas inabordable non plus.
Molenbaix comptera notamment sur quelques joueurs expérimentés, dont Maxime Pecquereau.
"On se dit que c’est possible, même s’il y a deux ans nous avions perdu face au barragiste de P1 pour la montée. Nous avons eu deux ou trois échos de cette équipe de Pâturages. On sait que ce ne sera pas facile, qu’elle possède de bons éléments. Mais si elle se retrouve barragiste, c’est qu’il y a peut-être de la place aussi", indique Maxime.
Encore une fois, personne ou presque n’aurait misé sur un tel parcours de Molenbaix en décembre dernier. Alors en milieu de tableau, l’équipe a amorcé une courbe ascendante qui fait qu’elle n’a pas été battue en match officiel en 2019. Il faut donc profiter de cette spirale positive. "Nous en sommes conscients. Le staff et le comité insufflent de l’énergie et savent que notre coach, un gagneur, va mettre les éléments en place pour que nous soyons dans de bonnes conditions et pour faire quelque chose de correct", poursuit Maxime. "Si jamais nous devions monter, l’objectif serait de faire bonne figure, à tout le moins de ne pas effectuer l’ascenseur. Nous savons qu’en termes de budget et d’infrastructures nous ne sommes pas dans le peloton de tête."
À bientôt 33 ans, Maxime Pecquereau n’envisage pas d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte. "Je me sens bien à Molenbaix et je ne bougerai sans doute plus."
Ce dimanche, Frédéric Debaisieux devra composer sans Fontaine, suspendu, tandis que des incertitudes planent concernant Lechantre, Langlart et Spinelli.