A Deinze, Virton a pu remercier son gardien Anthony Moris

Le coach David Gevaert reconnaissait que son équipe avait souffert.

Jean-François Delisse
A Deinze, Virton a pu remercier son gardien Anthony Moris

Le coach David Gevaert reconnaissait que son équipe avait souffert.

Dans cette rencontre entre deux des prétendants à l’accession en D1B, ce sont tout d’abord les Flandriens qui ont dicté leur loi et il a fallu un excellent Anthony Moris pour empêcher Lallemand puis Tarfi de déflorer la marque.

Sur un terrain gelé où il était compliqué de combiner, les Gaumais allaient se reprendre après la pause, mais Straetman puis Joachim ne parvenaient pas à concrétiser leurs occasions. La fin de match était à nouveau à l’avantage de l’équipe locale, mais Brulmans laissait filer l’occasion la plus nette de son équipe durant le deuxième acte.

Dès lors , David Gevaert, le mentor virtonais, ne cachait pas sa satisfaction de ramener un point de ce périlleux déplacement dans sa région d’origine.

"Sans un excellent Moris, nous aurions atteint la pause avec un retard d’au moins un but. Notre première demi-heure a été très compliquée. Nous ne trouvions pas la réponse au jeu proposé par l’adversaire. Cela a été un peu mieux à partir du moment où nous avons apporté un changement tactique en demandant à Lecomte de jouer, non plus à côté de Schmit, mais devant lui. Après, on a même eu l’ascendant, mais en fin de match, Deinze nous a fait à nouveau souffrir et aurait pu s’imposer via Brulmans. On peut donc être satisfait avec ce point récolté et j’espère que mes joueurs auront tiré les enseignements qui s’imposaient, car il y a de fortes chances pour que nous revenions ici au printemps prochain dans le cadre du tour final."

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