Pour jouer

Valencia's midfielder Carlos Soler (L) vies with Valencia's Barcelona's Dutch defender Thomas Vermaelen during the Spanish league football match Valencia CF and FC Barcelona at Mestalla stadium in Valencia on November 26,2017 / AFP PHOTO / JOSE JORDAN
Valencia's midfielder Carlos Soler (L) vies with Valencia's Barcelona's Dutch defender Thomas Vermaelen during the Spanish league football match Valencia CF and FC Barcelona at Mestalla stadium in Valencia on November 26,2017 / AFP PHOTO / JOSE JORDAN ©AFP

Le sort prend un malin plaisir à s’acharner sur Thomas Vermaelen. De novembre à janvier dernier, le gaucher avait enfin pu enchaîner les rencontres avec le FC Barcelone. En se montrant vraiment convaincant. La blessure de Samuel Umtiti avait offert au joueur une fenêtre d’exposition dont il a parfaitement tiré profit. Avant d’être mis sur la touche par une nouvelle blessure aux ischios le jour où le Français faisait son retour sur le banc, le 21 janvier, sur le terrain du Betis Séville. Vermaelen a pris son temps pour se soigner et est revenu pour grapiller du temps de jeu.

Avant de rechuter, le 13 mai dernier contre Levante. Ce qui a fait planer un gros doute sur sa Coupe du Monde. Et convaincu les dirigeants du FC Barcelone de sa fragilité, qui pose un sérieux problème de fiabilité qui surpasse son talent.

Comment expliquer sinon le recrutement du Français Clément Lenglet, gaucher comme lui, qui le relègue désormais en quatrième place d’une hiérarchie dominée par Gérard Piqué et Umtiti ? Quand Yerry Mina est parti aussi vite qu’il était arrivé, l’Anversois est lui resté. L’enjeu sera de jouer cette saison. À Barcelone ? Fenerbahce a tâté le terrain mais la non-participation à la Ligue des Champions alliée à la crise financière en Turquie a refermé cette porte pour le Diable. Qui, avec sa reprise tardive, n’a joué que 45 minutes en préparation…

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