Malchance, maladresse : de vraies excuses ?
- Publié le 18-01-2015 à 17h27
Enes Saglik et les Zèbres rechignent à parler d’un vrai jour sans Si ce n’est durant quelques minutes au début de la seconde période, les Zèbres n’ont vraiment rien montré face à une équipe brugeoise requinquée par les arrivées de Martens et Haroun.
Patauds en défense et incapables de briller en zone offensive, ils n’ont fait que repousser une échéance qui semblait inéluctable. "Nous avons eu les occasions pour faire la différence", lâchait toutefois Enes Saglik. "Mais le ballon ne voulait pas rentrer, tout simplement. Je pense que la chance n’était pas avec nous cette fois."
Et dans ces cas-là, c’est évidemment l’adversaire qui en profite : "Ce n’est pas parce que Bruges a été bon que nous ne l’étions pas… Même si c’est vrai que l’on a mis le Cercle en confiance rapidement, en le laissant jouer. Le problème, c’est que l’on a évolué trop bas avant la pause, avant d’enfin remonter le bloc en seconde période. Ce qui a porté ses fruits. Mais, encore une fois, il n’y a pas eu l’efficacité au bout du compte".
Voilà maintenant les Zèbres en ballottage pour les PO1 : "Il nous reste 8 matches et donc 8 finales à jouer. À nous de tout faire pour remporter le plus de rencontres possible. Tout en gardant un œil sur la Coupe. Mais il ne faut pas s’enflammer".
Vu les blessures de Karel Geraerts et Damien Marcq, le médian belgo-turc pourrait bien être partie prenante de ces prochaines semaines : "Je vais continuer à donner le meilleur de moi-même, comme je l’ai toujours fait. Et suivre les consignes du coach au maximum".
G. Ben.