Le passé est vite oublié

Charleroi's head coach Felice Mazzu gestures during the Jupiler Pro League match between Sporting Charleroi and Royal Antwerp FC, in Charleroi, Sunday 29 July 2018, on the first day of the Jupiler Pro League, the Belgian soccer championship season 2018-2019. BELGA PHOTO VIRGINIE LEFOUR
Charleroi's head coach Felice Mazzu gestures during the Jupiler Pro League match between Sporting Charleroi and Royal Antwerp FC, in Charleroi, Sunday 29 July 2018, on the first day of the Jupiler Pro League, the Belgian soccer championship season 2018-2019. BELGA PHOTO VIRGINIE LEFOUR ©BELGA

Malgré toutes les perfs réalisées avec Charleroi depuis son arrivée au club, malgré les qualifications pour les playoffs 1 et malgré son statut de meilleur entraîneur de l’année 2017, Felice Mazzù va lui aussi entamer une saison de confirmation. Pourquoi ? Tout simplement car c’est le métier d’entraîneur et le football actuel qui veulent cela. Comme chaque coach au monde, l’entraîneur du Sporting sera jugé, semaine après semaine, match après match, par rapport aux résultats de son équipe. Et si celle-ci ne performe pas, il sera pointé du doigt et critiqué par les supporters du club et par les médias. Parfois justement, parfois injustement. Et c’est pour cela que dans son rôle, Felice Mazzù est obligé de toujours et toujours confirmer les bonnes prestations du passé. Et malgré les liens forts qui le lient à sa direction et la confiance réciproque qui existe entre eux, des tensions pourraient naître, naturellement, si le Sporting devait vivre une saison compliquée. Mais cela, on ne le souhaite pas aux Zèbres

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