La stabilité va régner chez les grands de Premier League Sans doute, Roberto Martinez a-t-il sondé le marché. Et sans doute s’est il rendu compte de son caractère fermé.
Cet été, les postes susceptibles d’incarner une progression pour celui qui a conduit Everton à la 5e place de P remier League lors de sa première (et meilleure) saison chez les Toffees en 2013-14 sont quasiment tous pourvus.
Parmi les membres du Top 6, Pep Guardiola, José Mourinho, Jurgen Klopp et Mauricio Pochettino ne bougeront pas. À Arsenal, la succession d’Arsène Wenger se précise avec un match qui se dessine entre Zeljko Buvac dans le rôle du favori et celui de Luis Enrique, désormais outsider.
Mais l’ancien entraîneur du FC Barcelone, sans doute le technicien le plus demandé actuellement sur le marché, pourrait malgré tout rebondir à Londres pour prendre la suite d’Antonio Conte.
Le sort de l’Italien dépend de la fin de saison des Blues, d’une place en Ligue des Champions mais aussi d’une victoire en Cup. Ce qui pourrait hypothéquer son futur vu son crédit déjà largement entamé. En plus d’Enrique, les noms des Italiens Maurizio Sarri et Massimiliano Allegri ou de Brendan Rodgers circulent. Pas celui de Roberto Martinez.
Le voir repartir dans un club de moindre envergure, d’une dimension comparable à celle d’Everton, apparaît difficilement concevable. Pour une question d’ambition personnelle mais aussi de contexte : Sam Allardyce (Everton), Claude Puel (Leicester), Rafael Benitez (Newcastle) ou Roy Hodgson (Crystal Palace) sont tous solidement installés à leur poste.
Jo. L.