EN BREF

Tout le monde veut éviter les playdowns Dans ce championnat à huit équipes, la D1B met toutes les équipes sous pression. Notamment pour celles qui termineront aux quatre dernières places et devront passer par les playdowns pour éviter la bascule dans le football amateurs. "Ne peuvent en parler que ceux qui y ont eu la malchance de devoir y prendre part", évoque Marc Grosjean, qui a disputé ces fameux playdowns avec l’Union il y a quelques semaines à peine. "C’est tellement atypique, spécifique et différent de ce qu’on peut imaginer, qu’on ne s’en rend compte qu’une fois qu’on est dedans. C’est un championnat où ce sont les plus sereins et ceux qui sont les plus aptes à gérer cette dynamique négative rôdant dans tous les stades, qui s’en sortent. Dans cette Proximus League, c’est un mini-championnat qu’il faut absolument éviter dans la mesure où personne ne prend plaisir à disputer ces rencontres où le stress est omniprésent."

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