L'affaire Selemani: "Une rupture de contrat pour motif grave", retour sur cette saga

Pour l’avocat de Faïz Selemani, qui s’est libéré de l’Union pour signer à Courtrai, la loi de 78 n’a pas été appliquée comme on l’entend habituellement.

Union's Faiz Selemani and Roeselare's Jonathan Vervoort fight for the ball during a soccer match between Royale Union Saint-Gilloise and KSV Roeselare, Sunday 04 August 2019 in Brussels, on day one of the 'Proximus League' 1B division of the Belgian soccer championship. BELGA PHOTO JOHN THYS
Union's Faiz Selemani and Roeselare's Jonathan Vervoort fight for the ball during a soccer match between Royale Union Saint-Gilloise and KSV Roeselare, Sunday 04 August 2019 in Brussels, on day one of the 'Proximus League' 1B division of the Belgian soccer championship. BELGA PHOTO JOHN THYS ©BELGA

Pour l’avocat de Faïz Selemani, qui s’est libéré de l’Union pour signer à Courtrai, la loi de 78 n’a pas été appliquée comme on l’entend habituellement. Ce lundi, Faïz Selemani a obtenu le transfert dont il rêvait, mettant fin à une longue saga pleine de rebondissements. Mais contrairement à ce qu’espérait sans doute l’ancien attaquant de l’Union, ce transfert ne s’est pas fait en douceur. Alors qu’il avait un accord verbal avec la direction bruxelloise signifiant qu’il pourrait partir vers un autre club pour la même somme qu’à son arrivée, l’international comorien a dû s’engager dans un bras de fer avec l’Union. Bras de fer qui a pris une tournure inattendue mercredi dernier lorsque le joueur a été interdit d’entraînement et même escorté par quatre gardes de sécurité.

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