Grégory Delreux et Céline Mawet, un binôme important pour le club de Mouscron: "Pour atteindre notre jeune public"
Grégory Delreux et Céline Mawet forment un binôme important pour le club. Ils gèrent notamment les réseaux sociaux.
- Publié le 10-01-2019 à 13h09
- Mis à jour le 10-01-2019 à 13h11
Grégory Delreux et Céline Mawet forment un binôme important pour le club. Ils gèrent notamment les réseaux sociaux. Facebook, Twitter, Instagram… Les réseaux sociaux prennent une importance croissante dans la vie quotidienne des clubs. Aujourd’hui, c’est même le premier canal d’information pour la grande majorité des équipes. Et à cette mode, Mouscron n’y a pas échappé.
Céline Mawet, 22 ans et grande supportrice de l’Excel depuis plusieurs années, nous explique son rôle au quotidien. "Tous les jours, j’alimente les réseaux sociaux comme Twitter, Instagram et Facebook. En plus de ce rôle j’ai aussi une fonction de team manager. J’aide donc les joueurs dans certaines démarches administratives, etc. Je m’occupe aussi de divers événements comme la Homeless Cup."
Pour Céline, les réseaux sociaux sont essentiels dans la structure d’un club. "Cela nous permet d’atteindre un public jeune et de mettre le supporter au cœur de l’équipe. C’est aussi ce que les joueurs aiment. À chaque fois ils demandent les photos pour les partager sur leurs propres réseaux sociaux donc c’est vraiment valorisant aussi. La visibilité du club gagne beaucoup aussi et c’est toujours une publicité pour les joueurs."
Durant ce stage, elle est accompagnée par Grégory Delreux, le responsable presse du club qui réalise les mêmes fonctions qu’elle et s’occupe également du site internet du club.
"Être autant présent durant un stage sur les réseaux sociaux, c’est génial. Cela donne une plus-value au stage. C’est très important aussi pour les fans de voir au quotidien ce que leur équipe fétiche fait. Que ce soit en stage ou à Mouscron. Nous sommes obligés d’être deux pour faire ce boulot. Déjà de par mon grand âge (rires) et surtout par rapport à la masse de travail qu’il y a à faire."