Christian Benteke, désespérément à l’arrêt

Muet devant le but et désormais blessé, l’attaquant est clairement dans le dur.

Crystal Palace's Zaire-born Belgian striker Christian Benteke heads the ball during the English Premier League football match between Crystal Palace and Liverpool at Selhurst Park in south London on August 20, 2018. (Photo by Glyn KIRK / AFP) / RESTRICTED TO EDITORIAL USE. No use with unauthorized audio, video, data, fixture lists, club/league logos or 'live' services. Online in-match use limited to 120 images. An additional 40 images may be used in extra time. No video emulation. Social media in-match use limited to 120 images. An additional 40 images may be used in extra time. No use in betting publications, games or single club/league/player publications. /
Crystal Palace's Zaire-born Belgian striker Christian Benteke heads the ball during the English Premier League football match between Crystal Palace and Liverpool at Selhurst Park in south London on August 20, 2018. (Photo by Glyn KIRK / AFP) / RESTRICTED TO EDITORIAL USE. No use with unauthorized audio, video, data, fixture lists, club/league logos or 'live' services. Online in-match use limited to 120 images. An additional 40 images may be used in extra time. No video emulation. Social media in-match use limited to 120 images. An additional 40 images may be used in extra time. No use in betting publications, games or single club/league/player publications. / ©AFP

Muet devant le but et désormais blessé, l’attaquant est clairement dans le dur.

Christian Benteke a-t-il marché sous une échelle avec un chat noir un vendredi 13 ? L’hypothèse mérite d’être étudiée vu la récurrence avec laquelle le sort s’acharne sur l’attaquant.Le dernier épisode date d’il y a tout juste une semaine quand la politique de la main tendue par Roberto Martinez pour extraire l’attaquant de la grisaille de Crystal Palace s’est heurtée à une blessure au genou. Après seulement 48 heures passées à Tubize, le Diable a regagné Londres pour faire constater ce pépin dont la nature reste floue, même si son absence pourrait se compter en semaines plus qu’en jours et s’étirer jusqu’à la fin du mois de septembre.

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