On a reconnu Paris-Roubaix dans la roue de Johan Museeuw: "Les pavés n’ont pas changé par rapport à mon époque"

Comme chaque année, Johan Museeuw a reconnu, au sein d’un petit peloton, les 95 derniers kilomètres de Paris-Roubaix. Course qu’il a remportée à trois reprises: en 1996, 2000 et 2002.

On a reconnu Paris-Roubaix dans la roue de Johan Museeuw: "Les pavés n’ont pas changé par rapport à mon époque"

Comme chaque année, Johan Museeuw a reconnu, au sein d’un petit peloton, les 95 derniers kilomètres de Paris-Roubaix. Course qu’il a remportée à trois reprises: en 1996, 2000 et 2002. Jeudi 11 avril, 10 h du matin. Sous un franc soleil et une température presque hivernale, Johan Museeuw pose en compagnie d’une trentaine de cyclotouristes devant l’entrée de la mythique Trouée d’Arenberg. Le Lion des Flandres et sa troupe, composée de quelques fidèles et de cyclistes venus d’Angleterre, des États-Unis ou d’Australie, pénètrent ensuite dans la forêt à l’assaut des premiers pavés. Même s’il est vrai qu’en présence de nombreux badauds et des ouvriers chargés de sécuriser le lieu en prévision de la course de dimanche, il n’est pas toujours possible d’emprunter la Drève des Boules d’Hérin sur le haut du pavé. Cette relative frustration est de courte durée puisque trente autres kilomètres de chemins cabossés attendent Johan Museeuw et consorts.

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