Comment les Strade Bianche sont devenues le sixième monument de la saison

En un peu plus de dix ans, l’épreuve italienne est devenue l’une des courses préférées des stars du peloton et l’un des rendez-vous les plus attendus du calendrier.

Strade Bianche 2017 - 11th Edition - Siena - Siena 175 km - 04/03/2017 - Scenery - photo Luca Bettini/BettiniPhoto©2017 ! only BELGIUM !
Strade Bianche 2017 - 11th Edition - Siena - Siena 175 km - 04/03/2017 - Scenery - photo Luca Bettini/BettiniPhoto2017 ! only BELGIUM ! ©Photo News

En un peu plus de dix ans, l’épreuve italienne est devenue l’une des courses préférées des stars du peloton et l’un des rendez-vous les plus attendus du calendrier. Présentées comme "l’une des plus belles courses de la saison" par Greg Van Avermaet, comme "l’un des moments auxquels je songe pendant mes longs entraînements hivernaux" par Tiesj Benoot ou encore érigée en épreuve dont on "sous-estime totalement la beauté en Belgique" aux yeux de Tim Wellens, les Strade Bianche sont parvenues à faire l’unanimité dans le peloton en un peu plus de dix ans. Construites sur les fondations d’une épreuve vintage pour cyclos nostalgiques désireux de s’attaquer aux pentes toscanes sur des vélos d’antan et en tenues d’époque (L’Eroica), les Routes blanches sont, en dépit d’un parfum très historique, l’une des dernières nées du calendrier international. Comment donc cette course créée en 2007 et dont on disputera la 13e édition ce samedi a-t-elle réussi à s’ériger aux yeux de beaucoup comme le sixième monument de la saison cycliste ? Analyse.

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