Maxime Depuydt a été surpris par la défaite du Brussels
L’ailier de Limburg, passé par le Brussels, se méfie de la "bête blessée".
- Publié le 20-09-2019 à 10h59
- Mis à jour le 20-09-2019 à 11h00
L’ailier de Limburg, passé par le Brussels, se méfie de la "bête blessée". Comme on pouvait s’y attendre, cette saison, il faudra encore compter sur Limburg pour jouer les trouble-fêtes. Battus avec les honneurs à Ostende en ouverture le week-end dernier, les Limbourgeois s’apprêtent à affronter le Brussels ce vendredi. Un match qui reste particulier pour Maxime Depuydt. "Il n’y a rien à faire, c’est toujours spécial de jouer contre le Brussels, avoue l’ailier limbourgeois. Je suis resté plusieurs années là-bas et c’est aussi à Bruxelles que j’ai eu l’occasion de commencer ma carrière professionnelle."
Un match qui apporte également son lot de motivation supplémentaire à Maxime Depuydt. "Je suis toujours remonté à bloc avant d’affronter le Brussels, sourit l’ailier limbourgeois. Mais je ne suis pas du tout revanchard. C’est une motivation positive car j’ai aussi envie de leur offrir une petite défaite. C’est une saine rivalité et d’ailleurs, j’ai encore des contacts avec des joueurs comme Aleks (Lichodzijewski) et Jonas (Foerts)."
Une équipe du Brussels qui a été battue, à la surprise générale, à la maison le week-end dernier par Malines. "Je dois bien avouer que j’ai été surpris par cette défaite. J’ai vu plusieurs matchs en préparation et je n’ai pas reconnu l’équipe. Il n’y avait pas cette énergie habituelle et les joueurs semblaient un peu amorphes."
Mais pas question de prendre cette rencontre à la légère. "Connaissant Serge (Crevecœur), il a certainement remis les pendules à l’heure, sourit Maxime Depuydt. Je pense que c’est seulement un faux pas de leur part. Pour nous, c’est important de bien débuter à la maison avec une victoire surtout que devant notre public, on est capable de s’enflammer à n’importe quel moment. Reste à trouver cette structure en attaque et surtout à rester concentré sur notre match pendant 40 minutes car chaque moment d’égarement peut se payer cash", conclut l’ailier limbourgeois.