Yoni Buyens se rappelle de la victoire liégeoise à Bruges : "Mpoku avait été déterminant"
Yoni Buyens avait été décisif lors de la dernière victoire du Standard à Bruges.
- Publié le 21-04-2018 à 12h14
- Mis à jour le 21-04-2018 à 12h15
Yoni Buyens avait été décisif lors de la dernière victoire du Standard à Bruges. "J’ai marqué quelques buts pour le Standard, mais celui à Bruges était l’un des plus importants."
Yoni Buyens a soufflé le chaud et le froid lors de son passage au Standard, mais le médian était de la partie, tout en étant décisif, lors de la dernière victoire du Standard sur la pelouse du Club Bruges. C’était le 1er avril 2013, une éternité, même pour les souvenirs du natif de Duffel. "C’était il y a bien longtemps. Je n’ai plus toutes les actions du match en tête mais je me souviens que Michy Batshuayi avait ouvert le score. Je me rappelle aussi de mon but : c’était un coup franc rapidement joué par Mpoku, qui avait été déterminant. J’avais placé ma tête. Ce but nous avait donné de l’air, car nous étions encore plus à l’aise après pour jouer en contre. C’était une très belle victoire pour lancer nos playoffs 1 de la meilleure des façons. Nous avions su rivaliser avec le jeu physique de Bruges et finalement nous ne leur avions pas donné beaucoup d’occasions."
Cette victoire en Venise du Nord avait lancé les Rouches vers une belle fin de saison, couronnée d’une qualification européenne. Que peuvent espérer les Liégeois en cas de victoire dimanche ? "Tout ! La deuxième place est clairement accessible mais pourquoi pas la première ? En cas de victoire, il n’y aurait plus que 6 points et il y a aura encore 15 points à se disputer. Dans les playoffs, tout peut vraiment aller très vite."
Si vite que les Rouches pourraient gagner à Bruges : "Je vois vraiment bien le Standard aller faire un résultat à Bruges : les joueurs de Leko ont déjà la tête au titre, ils disent déjà que c’est terminé, qu’ils ne pourront plus être rejoints. C’est le moment ou jamais, même s’ils n’ont pas encore été battus à domicile."
Une victoire ouvrirait en effet la porte à tous les rêves les plus fous. Et en bord de Meuse, c’est bien connu, tout le monde est un peu fada.