Andy Najar, le seul rescapé de l’ère Van Holsbeeck, vaudra de l’or
Ces derniers mois, c’est devenu la mode à Anderlecht de mettre ceux qui appartenaient à l’ère Vanden Stock et Van Holsbeeck à la poubelle.
- Publié le 03-09-2018 à 14h10
- Mis à jour le 03-09-2018 à 14h12
Ces derniers mois, c’est devenu la mode à Anderlecht de mettre ceux qui appartenaient à l’ère Vanden Stock et Van Holsbeeck à la poubelle.
Deschacht, Kara, Teodorczyk : ils ont gentiment été priés de quitter le navire. À un certain moment, même Andy Najar aurait été sur la sellette.
"Pas vrai, prétend Luc Devroe. Mais on voulait attendre qu’il soit fit avant de le voir jouer."
Heureusement que Najar n’a pas pu se montrer pendant le mois d’août, sinon ses prestations auraient suscité l’intérêt de clubs étrangers. Et on craint qu’Anderlecht l’eût vendu. Najar vaudra encore de l’or, pendant cette saison. Sans matches dans les jambes, il s’est montré le meilleur Anderlechtois à une position qui n’est pas la sienne.
C’est bien de rajeunir et de repartir de zéro, mais un garçon expérimenté et combatif comme le Hondurien doit toujours être dans l’équipe, à n’importe quelle position.
On maintient qu’il aurait été beaucoup plus utile que le pauvre Amuzu à Bruges. Andy est capable de sortir un gros match sans avoir de rythme dans les jambes.
Hein Vanhaezebrouck doit quand même savoir que son numéro 7 a trois poumons…