Roberto Martinez fera 9 changements par rapport au match face à la Tunisie! (PRE-LIVE)
Venez suivre notre avant-match et n'hésitez pas à poser vos questions ou à donner votre avis sur cette rencontre face à l'Angleterre à Kaliningrad (20h).
- Publié le 28-06-2018 à 11h49
- Mis à jour le 28-06-2018 à 20h02
Venez suivre notre avant-match et n'hésitez pas à poser vos questions ou à donner votre avis sur cette rencontre face à l'Angleterre à Kaliningrad (20h).
L’Union belge a fait savoir qu’il y aurait 1.600 supporters belges... minimum : ce nombre pourrait grimper via les Belges qui ont acheté des tickets directement auprès de la Fifa. Idem pour les Anglais, qui seront au moins 2.000. Quel que soit le nombre, ils seront bruyants et les Belges présents ne regrettent pas d’avoir fait le déplacement, malgré le manque d’enjeu : "Honnêtement, je préfère voir un match entre équipes B parce qu’on est déjà qualifié plutôt qu’un match à enjeu que l’on perd et qui nous renvoie à la maison. J’ai encore le retour de Belgique-pays de Galles en travers de la gorge", nous raconte Ludwig Dagnelie.
De son côté, Olivier Lebbe assure que l’ambiance vaudra le détour : "Pour avoir assisté à Espagne-Maroc lundi, je peux vous affirmer que c’est un stade complètement fermé, avec une grosse ambiance. On est surtout là pour ça."
Le Premier ministre irlandais soutiendra les Diables rouges face à l'Angleterre
Les Diables rouges pourront compter jeudi soir sur un soutien inattendu pour leur match face à l'Angleterre à la Coupe du monde de football. Interrogé par la BBC en prélude d'un sommet européen à Bruxelles, le Premier ministre irlandais, Leo Varadkar, a indiqué qu'il soutiendrait les Belges à cette occasion, et non ses voisins anglais.
La Belgique et l'Angleterre, qui sont déjà assurées de disputer les huitièmes de finale de la Coupe du monde, s'affronteront ce jeudi à 20H00 à Kaliningrad.
Le surprenant soutien du Taoiseach (le chef du gouvernement en Irlande) pourrait être lié aux discussions difficiles en cours entre les Européens et Londres sur la question de la frontière irlandaise dans la perspective du Brexit.
Le Royaume-Uni comme les Européens affirment vouloir éviter à tout prix le rétablissement d'une frontière "dure" entre la province britannique d'Irlande du Nord et la République d'Irlande après la sortie du Royaume-Uni du bloc européen, mais aucun accord satisfaisant n'a pour l'instant été atteint.