La Real se veut plus qu’un club de football !
- Publié le 06-07-2018 à 15h30
- Mis à jour le 06-07-2018 à 15h32
Les dirigeants voient plus loin que l’installation prochaine des terrains synthétiques C’est une nouvelle qui va ravir les supporters, et évidemment tous les membres du club de la Real : les terrains synthétiques, c’est pour bientôt ! "Sans infrastructures, on ne peut rien faire de correct", assure Denis Dehaene, directeur sportif de la Royale Entente Acren-Lessines. "On avait évoqué et lancé ce projet en 2015. Entre-temps, la Real est née. Notre club va désormais pouvoir encore grandir avec ces nouveaux terrains."
Concrètement, ce sont donc deux terrains synthétiques qui vont très prochainement voir le jour, les travaux devraient débuter la semaine prochaine, garnir le stade des Camomilles. "Ces terrains, en billes de liège, seront de toute dernière génération. Nous pourrons également compter sur un éclairage led flambant neuf. Les abords seront également aménagés pour plus de confort pour les supporters."
Là où certains clubs pleurent pour avoir un terrain synthétique, la Real aura le luxe d’en compter deux. "Le terrain principal sera aux dimensions de la Jupiler Pro League. L’autre terrain sera grand de 25 m sur 35 pour le jeu des plus petits. L’investissement est de l’ordre du petit million d’euros dont 75 % ont été subsidiés."
Les dirigeants du club sont évidemment heureux de la tournure positive de ce dossier. Ils veulent cependant voir encore plus loin en assurant que la Real se voudra plus qu’un club de football. "Nous avons des projets pour notre site du stade des Camomilles. À la place de la tribune existante, nous pensons à un bloc vestiaire, une salle pour le matériel, une autre de fitness. Cela veut dire que nous pensons également à une nouvelle tribune, une buvette, une salle de réunion, de réception. Ce n’est pas quelque chose de mégalo mais quelque chose pour un maximum de personnes. C’est pour cela que nous devons penser à des partenariats public-privé", détaille encore Denis Dehaene.
Ce dernier se fixe même un timing. "On peut se donner rendez-vous dans trois ans pour voir où nous en serons. Tout est possible à condition de collaborer !"