Jonathan Eckhaut (CSPVOA): "Le maintien, on l’aura sans souci"

Jonathan Eckhaut est certain du maintien des siens qui ont fait peur au leader

Thomas Van den Bril
Eckhaut Jonathan 12
Eckhaut Jonathan 12 ©tam.be

Jonathan Eckhaut est certain du maintien des siens qui ont fait peur au leader Avant cette rencontre face au RCS Brainois, les hommes de Fabrice Milone redoutaient clairement une défaite. 

"C’était tout de même le leader", souffle Jonathan Eckhaut. Mais au final, le CSPVOA ne prend qu’un point. "C’est dommage ce but que l’on prend dans les arrêts de jeu. Le Brainois frappe au but, notre gardien plonge, malheureusement le cuir lui glisse en dessous…"

C’est encore plus dommage que les Payverdiens avaient le match en main. "En première période, les deux équipes étaient bien organisées. En seconde période, nous parvenons à exploiter un de nos contres. Je marque. Et puis il y a ce but qui nous dégoûte un peu…"

Mais les Athois ne vont pas se lamenter sur leur sort ni accabler le gardien qui a suppléé Mercier, suspendu. "On préfère se dire que nous avons réalisé un bon résultat. Que notre période d’apprentissage est bien derrière nous. Franchement, je n’ai aucune crainte sur l’avenir. Le maintien, nous allons l’obtenir sans souci."

Si Jonathan Eckhaut est aussi affirmatif, c’est parce qu’il connaît bien la série. "J’ai joué en Nationale avec Tertre et Ath. Par rapport à la saison dernière, c’est clair qu’il y a un fossé entre les deux séries mais nous avons su prouver lors de nos trois dernières sorties que nous avons assez de qualités pour rester en D3 amateurs."

Le groupe a trouvé la bonne formule depuis quelques semaines. "Notre système en 4-4-2 fonctionne assez bien. On a joué de grosses équipes aussi comme Namur ou encore Braine. On s’en est pas mal sorti même s’il est vrai que l’on court beaucoup sur le terrain. Mais c’est comme cela que l’on apprend. Et je peux voir que mes coéquipiers apprennent très vite."

Si bien qu’une fois un joueur entré dans l’équipe, le coach a du mal à le mettre sur le côté. "Regardez Quentin Piéraert, qui est un de nos meilleurs joueurs. Il est parti en vacances. Il rentre à nouveau en ligne de compte mais le coach est obligé de le faire jouer avec la P3 car son remplaçant s’est bien débrouillé. Franchement, avec notre groupe, je n’aimerais pas être à la place du coach qui doit faire des choix délicats chaque semaine."

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