Hockey dames> Namur pas à la fête: "Nous jouons de mieux en mieux…"

Les promues namuroises ont perdu leurs six premiers matches en DH

Grégory Piérard
(copyright: Vincent LORENT) 29/08/2018 hockey namur, RHCN; filles, dames DH
(copyright: Vincent LORENT) 29/08/2018 hockey namur, RHCN; filles, dames DH ©vincent lorent

Les promues namuroises ont perdu leurs six premiers matches en DH Les Namuroises se doutaient que la montée en DH serait un sacré défi à relever. Après six rencontres, elles en ont la confirmation. Aucun point dans la besace mais surtout un goal-average (5-26) qui fait mal. Pas question de baisser la tête, le staff voit des raisons de croire en des jours meilleurs.

"Je suis satisfait du jeu qu’on parvient à développer et malgré l’ampleur de certains scores, on fait souvent jeu égal avec l’adversaire, confie l’entraîneur Pierre-Emmanuel Coppin. Le souci par rapport à la D1 est qu’on se fait punir sur la moindre erreur. Lorsque nous mettons la pression, cela fonctionne, nous sommes bien en place. Par contre, ce sont nos reconversions offensives qui posent problème. Il suffit d’un mauvais choix ou d’un positionnement hasardeux pour que l’adversaire en profite."

Avec la nouvelle formule de championnat, rien ne sera mal fait jusqu’au 24 mars. C’est en play-down qu’il s’agira surtout d’engranger. D’ici là, il faut continuer à travailler et tenter de faire abstraction des défaites concédées.

"J’ai confiance en mes joueuses, elles doivent aussi croire en leur potentiel. Quand je vois l’intensité mise à l’entraînement, je sais qu’on est sur le bon chemin. Nous avons souvent trop de respect pour l’adversaire et ce n’est qu’en fin de première mi-temps, quand on constate que nous soutenons la comparaison, que nous lâchons les chevaux mais il est trop tard."

Ce dimanche (12 h), Namur se déplacera au Racing, forcément un nouveau gros morceau. "Les Bruxelloises ont plusieurs internationales, chez les Dames et en U21. Elles s’entraînent cinq fois par semaine alors que nous n’avons que trois séances. Tout le défi est de réduire l’écart qui nous sépare de cette élite alors qu’on passe moins de temps qu’elles sur le terrain. On va mettre une grosse pression et tenter d’empêcher leurs individualités de casser nos lignes. Nous devons nous appuyer sur ce qui fonctionne bien. Les filles commettront peut-être des erreurs mais c’est comme cela que l’on apprend. Lorsqu’on aura pris notre premier point, la confiance viendra d’elle-même."

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