L’Olympic n’y arrive pas: "Quand on prend les devants, on baisse de rythme! C'est fou"

Les Dogues ont laissé filer un match qu’ils devaient dominer contre Ciney

L’Olympic n’y arrive pas: "Quand on prend les devants, on baisse de rythme! C'est fou"

Les Dogues ont laissé filer un match qu’ils devaient dominer "On ne parvient pas à tenir un score" , lance Corentin Moriconi, le gardien des Dogues. "À chaque fois que l’on prend les devants, on baisse de rythme. C’est fou."

Ce constat résume plutôt bien les choses. Face à un adversaire plus faible sur le papier, l’Olympic devait s’adjuger un succès facile. Sur le terrain, Seoudi, Bochet, Virgone et Henri se trouvaient facilement. Mais il manquait toujours une dernière passe tranchante. "C’est difficile à expliquer. Pourtant, l’entraîneur a insisté sur le jeu en une ou deux touches. Malgré cela, on ne parvient pas à faire circuler le ballon assez rapidement."

La première période était difficile, mais les Dogues parvenaient à débloquer la situation, à une minute de la pause. En une touche, Kaminiaris isolait Henri : 1-0. "À la pause, notre avantage était mérité. On devait tout faire pour doubler la mise, au retour des vestiaires."

Au lieu de cela, les Carolos ne parvenaient pas à gérer la partie. "Je n’arrive pas à comprendre pourquoi et comment… Je pense qu’on se met toujours au même niveau que l’adversaire. Mais cela ne peut plus continuer comme ça."

Ciney commençait à croire en sa chance. Les visiteurs touchaient le cadre à deux reprises. À force de pousser, ils trouvaient le chemin des filets, à leur tour. "C’était amplement mérité. Les Cinaciens auraient même pu revendiquer la victoire. Il est temps de changer quelque chose dans notre chef. On ne peut plus laisser filer autant de points."

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