Battu par Waremme, Guibertin ne cède pas à la panique

L’Axis a reçu une fameuse gifle dans le duel francophone de Ligue A (3-0)

Sébastien Ferrante
Battu par Waremme, Guibertin ne cède pas à la panique
©Tam.be

L’Axis a reçu une fameuse gifle dans le duel francophone de Ligue A (3-0)

Un match sans. Une rencontre à oublier le plus rapidement possible pour ne pas douter. La défaite est difficile à avaler mais reste incontestable lorsque l’on jette un regard sur l’ensemble de la partie.

Les Guibertins, battus 3-0, ont bâclé leur rendez-vous spécial du week-end dans le match les opposant à Waremme. Ils avaient pourtant l’envie de faire de belles choses. Mais des absents de taille et une équipe recomposée depuis le début de la saison auront fait défaut au club brabançon wallon.

Un des hommes forts de la maison, Éric Davaux, revenait tant bien que mal sur une rencontre à oublier de toute part. Il espère néanmoins que celle-ci servira d’électrochoc. "Je ne suis pas stressé, seulement déçu quand j’analyse notre match. La victoire de Waremme est incontestable… Cela dit, je pense que le niveau des clubs est plus ou moins similaire et qu’il est plus qu’envisageable de remettre les pendules à l’heure lors du match retour", expliquait-il.

À 2-0 dans les sets, on imaginait alors un sursaut d’orgueil chez les visiteurs. Mais la débâcle s’est empirée et le marquoir affichait 3-0 en fin de partie. Un non-match facilement explicable selon le responsable du club.

"Nous n’avions pas notre meilleur joueur, nous n’arrivons pas à nous imposer en déplacement depuis le début de l’exercice. Certains joueurs ont sûrement été tétanisés par l’enjeu de la rencontre. Le noyau s’est fortement rajeuni. Quand tout le monde aura adhéré et intégré le discours du coach, je pense qu’il sera plus simple d’aborder les matches pour faire de bons résultats."

Avec un calendrier plus favorable lors des semaines à venir, l’Axis Guibertin espère reprendre des points pour ne pas laisser planer des doutes au sein du vestiaire. Des rencontres face à des concurrents directs sont attendues de pied ferme.

"Ce n’est qu’un derby. Tout ne doit pas être remis en question", concluait Éric Davaux.

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