Au sein d’une telle concentration de talents, peut-être encore plus dense qu’en 1998 quand l’aventure des Suker, Boban et Asanovic avait débouché sur une demi-finale inattendue, la tête de Luka Modric dépasse un peu plus que celles d’Ivan Rakitic, Ivan Perisic ou Mario Mandzukic. L’enchaînement de sacres continentaux du Real Madrid a mis en lumière le talent protéiforme du milieu. Qui, à 33 ans, n’a plus de temps à perdre pour enfin réaliser quelque chose de grand avec une sélection au potentiel certain qui n’est pas sortie de son groupe il y a quatre ans et reste sur un triste huitième de finale à l’Euro.
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