Un pays à porter sur ses épaules
Jonathan LangeRédacteur en chef Les Sports +
- Publié le 12-06-2018 à 22h15
Inutile de chercher plus loin le meilleur joueur de la planète sur ce début d’année. Pour priver Kevin De Bruyne du titre de joueur de l’année en Angleterre, Mohamed Salah a poussé très haut et très loin le degré d’exigence. Magnifié par le style de Klopp en club, il apparaît en sélection comme l’élément déclencheur d’Hector Cuper. Comme celui qui doit porter sur ses épaules tout un pays alors qu’il continue de soigner la sienne, endommagée depuis la finale de la Ligue des Champions. Ce qui laisse planer un gros doute sur son état physique.
Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.