Quand on est volontaire pour la presse, il faut savoir s'occuper

Chaque stade russe dispose d'une énorme salle de presse où peuvent se regrouper plusieurs centaines de journalistes. Le jour d'un match, il faut parfois se battre pour trouver une chaise libre car entre les journalistes, les commentateurs, les photographes et les équipes techniques, il y a suffisamment de monde pour occuper tout l'espace.

Michael Franken
Quand on est volontaire pour la presse, il faut savoir s'occuper
©DH

Chaque stade russe dispose d'une énorme salle de presse où peuvent se regrouper plusieurs centaines de journalistes. Le jour d'un match, il faut parfois se battre pour trouver une chaise libre car entre les journalistes, les commentateurs, les photographes et les équipes techniques, il y a suffisamment de monde pour occuper tout l'espace.

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