Président de l’ASVEL, Tony Parker attend beaucoup de la meneuse belge Il y a un an, Julie Allemand faisait le grand saut en passant des Castors à l’ASVEL, en France. Un club ambitieux qui est à présent dirigé par Tony Parker, un mentor de luxe pour la meneuse des Belgian Cats . "Pour elle, ça n’a pas été facile de changer de pays et de quitter son cocon assez jeune , explique TP. Malgré cela, elle a fait une bonne première saison, mais on attend beaucoup d’elle à l’avenir."
Avec 5,7 points et 4,8 passes par match, elle n’a pas à rougir de sa première année mais le président de l’ASVEL en veut plus. "On a construit une grosse équipe autour d’elle et j’espère qu’elle pourra s’épanouir. On a beaucoup d’ambitions et je suis certain qu’elle fera encore mieux l’année prochaine."
Et quand un président comme Tony Parker le dit, il y a de quoi avoir un peu de pression quand même. "C’est notre meneuse titulaire donc j’attends d’elle qu’elle fasse ce qu’un meneur doit faire sur un terrain. On l’a signée pour deux ans, elle entre dans sa deuxième année et notre but est de grandir avec elle tout en la faisant grandir également."
Une évolution très attendue par Tony Parker qui ne manque pas d’ambitions. "Si je suis devenu président du club, c’est pour gagner des titres et soulever des trophées. On voit grand et nous sommes ambitieux", conclut le nouveau meneur des Hornets qui ne se contentera pas d’une cinquième place au classement comme la saison dernière.
Julie Allemand est prévenue : son président est ambitieux mais compte aussi sur elle pour grandir. Une belle preuve de confiance et de reconnaissance quand on joue au même poste qu’un quadruple champion NBA !
J.Br.