Le top 100 des joueurs qui vont marquer 2018 (de 75e à 51e)
L’année 2018 commence et la DH vous propose 100 noms de joueurs à suivre cette année. Aujourd’hui, de la 75e à la 51e place.
- Publié le 03-01-2018 à 14h51
- Mis à jour le 29-08-2018 à 10h41
L’année 2018 commence et la DH vous propose 100 noms de joueurs à suivre cette année. Aujourd’hui, de la 75e à la 51e place.
75. Dani Alves (Bré) Défenseur, Paris Saint-Germain (Fra)
Vainqueur à trois reprises de la C1 avec le Barça, le Brésilien espère réaliser la passe de quatre, et entrer dans l’histoire du PSG qui n’attend que ça. Seul trophée majeur qui manque à son CV, la Coupe du Monde constitue aussi un objectif majeur.
74. Corentin Tolisso (Fra) Milieu, Bayern Munich (All)
Révélation bavaroise depuis son arrivée en juillet dernier, le Français disputera son premier tournoi avec les Bleus en Russie. Une Coupe du Monde sur laquelle il fonde beaucoup d’espoirs, à l’image de tout l’Hexagone.
73. Jérome Boateng (All) Défenseur, Bayern Munich (All)
Redevenu le pilier de la défense des champions d’Allemagne en titre, le futur trentenaire espère être épargné par les pépins physiques pour être du voyage en Russie, où la Mannschaft remettra en jeu son titre.
72. Jan Vertonghen (Bel) Défenseur, Tottenham (Ang)
Indéboulonnable tant chez les Spurs que dans l’effectif de Roberto Martinez, il atteindra cette année la barre des cent caps chez les Diables Rouges, une première dans l’histoire de l’équipe nationale. À cela s’ajoutera un nouveau Mondial où il fera naturellement partie des meubles, sans qui la défense souffre considérablement, et le doux rêve de concrétiser les espoirs placés dans cette génération dorée. Côté club, où il est vierge de tout trophée depuis son arrivée à Londres en 2012, l’objectif sera d’accrocher de nouveau une place pour la Ligue des Champions. C1 où lui et son équipe comptent bien jouer les trouble-fêtes. Mention à Thomas Vermaelen, 119e de notre classement, qui espère être épargné par les problèmes physiques pour s’installer durablement au FC Barcelone et être du voyage en Russie.
71. James Rodríguez (Col) Milieu, Bayern Munich (All)
Après des débuts délicats en Bavière, le Colombien revit. Il ne fait quasiment aucun doute qu’il ajoutera à son palmarès un titre de champion d’Allemagne, et pourquoi pas une troisième C1 tant le Bayern de Heynckes impressionne. Outsider en Russie avec la Colombie.
70. Álvaro Morata (Esp) Attaquant, Chelsea (Ang)
Transféré à grands coups de millions l’été dernier, l’ancien Madrilène a globalement répondu aux attentes à Chelsea. Si un titre avec les Blues est hors d’atteinte, Morata doit en revanche emmener l’attaque de la Roja et lui permettre de retrouver les sommets mondiaux.
69. Fernandinho (Bré) Milieu, Manchester City (Ang)
Arrivé sur le tard au sommet de son art, il est en pleine bourre sour les ordres de Guardiola. On en oublierait presque qu’il va déjà sur ses 33 ans, et donc une potentielle dernière Coupe du Monde où son pays fait partie des favoris à la victoire finale.
68. Samuel Umtiti (Fra) Défenseur, FC Barcelone (Esp)
Encore un joueur formé à Lyon qui a percé au plus haut niveau. Devenu un pilier du Barça, il s’est également imposé chez les Bleus et fait partie de ceux en qui de grands espoirs sont placés pour réitérer l’exploit Black-Blanc-Beur d’il y a vingt ans.
67. Marc-André ter Stegen (All) Gardien, FC Barcelone (Esp)
L’incertitude planant toujours au-dessus de Manuel Neuer pour le Mondial, le deuxième gardien est dans les starting-blocks en cas de défection du premier. Véritable mur avec le Barça cette saison, il serait loin de faire tâche entre les perches allemandes en Russie.
66. John Stones (Ang) Défenseur, Manchester City (Ang)
Ancien défenseur le plus cher de l’histoire, il a répondu aux attentes de ce statut et doit s’imposer progressivement comme le patron de l’arrière-garde des Three Lions. À seulement 23 ans, il incarne l’avenir de cette équipe, dont on attend toujours une prestation de premier ordre dans un grand tournoi.
65. Sergej Milinkovic-Savic (Ser) Milieu, Lazio Rome (Ita)
Attraction de la Serie A, l’ancien Genkois contraindra son futur acquéreur à casser sa tirelire. Certains médias évoquaient dernièrement la somme de 100 millions d’euros pour le Serbe, sur qui beaucoup d’yeux seront braqués en Russie… s’il n’a pas quitté la Lazio avant.
64. Marcus Rashford (Ang) Attaquant, Manchester United (Ang)
Passé le temps de la révélation, le jeune attaquant mancunien maintient le rythme qui lui a permis de se faire une place au soleil chez les Red Devils et les Three Lions. S’il n’a pas énormément eu voix au chapitre à l’Euro français, sa situation devrait être différente au Mondial russe.
63. Jan Oblak (Slo) Gardien, Atlético Madrid (Esp)
Succéder à Thibaut Courtois ne s’annonçait pas chose aisée. Le portier slovène l’a pourtant fait avec brio. Si bien que les grosses écuries européennes se bousculent au portillon pour lui. Ce n’est pas l’absence de son pays au Mondial qui contrecarrera leurs plans tant le futur du gardien s’annonce brillant. À l’inverse de Courtois, il doit étoffer son palmarès, ce qui s’annonce difficile en 2018.
62. Marco Verratti (Ita) Milieu, Paris Saint-Germain (Fra)
Autre absence, plus surprenante celle-ci, du rendez-vous russe, celle de l’Italie. Et pourtant, Petit Hibou sera de nouveau l’une des attractions estivales. Son transfert avorté au Barça l’été dernier ne pourrait être que partie remise si le PSG ne parvient pas à remplir ses objectifs et ses rêves européens.
61. Mesut Özil (All) Milieu, Arsenal (Ang)
Entre transfert (son contrat prend fin en juin), Coupe du Monde et porter une équipe d’Arsenal à la peine dans tout ce qu’elle entreprend, le médian aura du pain sur la planche cette année.
60. Nicolás Otamendi (Arg) Défenseur, Manchester City (Ang)
Il a eu du mal à convaincre, mais il fait finalement l’unanimité dans l’arrière-garde des Citizens, rendant encore plus probante la démonstration selon laquelle les défenseurs sont comme le bon vin : meilleurs avec l’âge. Assez pauvre, son CV risque de considérablement gonfler cette année.
59. Paulinho (Bré) Milieu, FC Barcelone (Esp)
Son arrivée en provenance de Chine avait suscité des railleries, mais il a fait taire les sceptiques en s’imposant graduellement dans l’entrejeu catalan. Au point de revenir dans les plans de la Seleção et d’avoir donné sa carte de visite pour le Mondial, qu’il devrait commencer comme titulaire.
58. Radja Nainggolan (Bel) Milieu, AS Rome (Ita)
Lorsque Roberto Martinez lèvera le voile sur sa sélection en vue de la Coupe du Monde, le Ninja sera le véritable centre d’attention. Depuis l’arrivée de l’Espagnol à la tête de l’équipe nationale, l’imbroglio n’a fait que grandir entre les deux hommes, au moyen de déclarations par médias interposés. C’est pourquoi le Mondial russe constituera LE rendez-vous de l’année pour Nainggolan, lui qui est passé à côté du Brésil. Sans pareil parmi les Diables Rouges, le chien de garde du milieu de terrain peut faire du bien à n’importe quel entrejeu, et apporter le surnombre avec sa capacité d’infiltration. Des caractéristiques qui n’ont pas échappé aux scouts des grosses cylindrées européennes, et qui feront de nouveau de l’Anversois une attraction des mercatos 2018, malgré son amour inconditionnel pour le club de la Ville éternelle.
57. Sadio Mané (Sén) Ailier, Liverpool (Ang)
L’ascension de l’auteur du hat trick le plus rapide de Premier League est constante et va se poursuivre avec sa première participation à une Coupe du Monde. Quelque peu barré par le trio Coutinho-Firmino-Salah chez les Reds, il ne doit néanmoins pas craindre pour sa place avec les Lions de la Teranga en Russie.
56. Christian Eriksen (Dan) Milieu, Tottenham (Ang)
Décisif, par un but ou un assist, en moyenne un match sur deux, le Danois continue de susciter les convoitises à travers l’Europe. Et ce n’est pas le retour du Danemark à la Coupe du Monde, dans un groupe abordable, qui devrait changer la donne. Après cinq saisons à Tottenham, un transfert pourrait lui permettre d’encore franchir un palier.
55. Toby Alderweireld (Bel) Défenseur, Tottenham (Ang)
Lorsque le Spur foulera de nouveau les pelouses en février (comme l’espère son entraîneur), cela fera trois mois qu’il aura été écarté des terrains en raison d’une blessure aux ischio-jambiers. Une éternité en football et qui aura coûté cher au club londonien. Patron d’une arrière-garde réputée pour sa rigueur, son retour fera le plus grand bien à Tottenham, comme aux Diables Rouges. Et c’est bien là le point positif car cette longue indisponibilité lui aura permis de ne pas aller puiser trop loin dans ses réserves avant le point d’orgue de la saison en Russie. L’Anversois suscitera en outre de nouveau les convoitises des grands d’Europe, puisque le flou persiste autour de la revalorisation de son contrat chez les Spurs, et que le passage d’un nouveau cap à presque 29 ans peut représenter une carotte des plus apétissantes.
54. Karim Benzema (Fra) Attaquant, Real Madrid (Esp)
Son absence en sélection ne surprend plus et ce n’est pas le Mondial russe qui devrait changer la donne tant le divorce est profond avec le sélectionneur Deschamps. En club, le buteur ne cesse d’être critiqué. Ses statistiques sont en berne et un départ du Real est de plus en plus envisageable cette année.
53. Casemiro (Bré) Milieu, Real Madrid (Esp)
Si le Real a vécu une fin 2017 délicate, il a en revanche pu compter sur un Casemiro aux quatre poumons qui n’a eu de cesse de manger le gazon. À ce rythme, le régulateur auriverde risque peut-être d’arriver cuit en Russie, et de signer une année blanche.
52. Alexis Sánchez (Chi) Ailier, Arsenal (Ang)
L’absence de la Roja chilienne au Mondial, couplée aux performances inconstantes d’Arsenal, fera que son année 2018 ne se résumera probablement qu’à un transfert. L’été dernier, il n’a pas caché ses envies d’ailleurs et il n’a pas manqué grand-chose pour qu’il quitte les Gunners. Ce ne sera que partie remise.
51. Marcelo (Bré) Défenseur, Real Madrid (Esp)
En dix ans chez les Merengue, il a tout gagné et il ne lui manque qu’un titre. Mais quel trophée : la Coupe du Monde. Avide de revanche et en pleine force de l’âge, la Seleção semble mieux armée que jamais pour lui permettre de combler ce vide et d’entrer définitivement dans la classe des meilleurs backsgauches de l’Histoire.