Le parallèle est cruel. Stéphane Guivarc’h n’avait pas marqué le moindre but en 1998 avec, notamment, deux grosses occasions en finale, mais avait été aussi blessé une partie du tournoi. Olivier Giroud, lui, a frappé treize fois au but. Sans cadrer une tentative. Mais la comparaison doit se voir au travers du prisme du collectif tant les deux avants-centres travaillent d’abord pour les autres et pèsent sur les défenses. En faisant passer leur intérêt personnel au second plan.
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