Ce n’est pas (encore) la crise à Sclessin

Il est trop tôt pour tirer la sonnette d’alarme en bord de Meuse.

Michaël Franken (avec F. H.)
Standard's players shows defeat after the soccer match between RSC Anderlecht and Standard de Liege, Sunday 23 September 2018 in Brussels, on the eighth day of the 'Jupiler Pro League' Belgian soccer championship season 2018-2019. BELGA PHOTO LUC CLAESSEN
Standard's players shows defeat after the soccer match between RSC Anderlecht and Standard de Liege, Sunday 23 September 2018 in Brussels, on the eighth day of the 'Jupiler Pro League' Belgian soccer championship season 2018-2019. BELGA PHOTO LUC CLAESSEN ©BELGA

Il est trop tôt pour tirer la sonnette d’alarme en bord de Meuse. Trois défaites en quatre matches, dont une contre l’ennemi héréditaire, une huitième place au classement général et dix points de retard sur le leader après seulement huit journées de compétition : la situation du Standard n’est pas confortable et laisse penser que le club entre en crise. Mais une analyse plus poussée que ces simples chiffres démontre que le club liégeois n’est pas encore mûr pour entrer en zone rouge.

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