Un salaire à la Teo, une exigence de dernière minute: les coulisses de l'échec des négociations avec Markovic

En fait, le Serbe ne voulait simplement pas revenir à Anderlecht.

Anderlecht's Lazar Markovic celebrates after scoring during the Jupiler Pro League match between KRC Genk and RSC Anderlecht, in Genk, Saturday 21 April 2018, on day five of the Play-Off 1 of the Belgian soccer championship. BELGA PHOTO VIRGINIE LEFOUR
Anderlecht's Lazar Markovic celebrates after scoring during the Jupiler Pro League match between KRC Genk and RSC Anderlecht, in Genk, Saturday 21 April 2018, on day five of the Play-Off 1 of the Belgian soccer championship. BELGA PHOTO VIRGINIE LEFOUR ©BELGA

En fait, le Serbe ne voulait simplement pas revenir à Anderlecht.

Marc Coucke se dit content du mercato d’Anderlecht, mais les dernières heures passées à Neerpede lui laisseront quand même un goût très amer. Tout était réglé pour que Lazar Markovic signe son contrat de trois ans avec une année d’option. L’accord avec Liverpool était conclu, Anderlecht voulait dépenser jusqu’à 4 millions avec une clause très favorable aux Reds.Et que dire du salaire proposé à Markovic ? Contre ses principes, Marc Coucke lui a offert environ deux millions par an ! C’est un contrat à la Teodorczyk, que Coucke ne comptait donner à personne. Mais il le voulait tellement, ce dernier renfort qui aurait fait d’Anderlecht le favori absolu pour le titre, qu’il a trahi ses principes. Les agents de Markovic avaient lu que Trebel avait le plus gros contrat du club et réclamaient pareil.

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