Pourquoi les Diables ont tout pour aller jusqu’en demi

Jamais les Diables n’ont été autant en confiance au moment d’aborder la phase d’élimination directe. Analyse de leurs atouts, à la lumière des explications de Roberto Martinez et de ce qu’on a vu, de Sotchi à Kaliningrad

Benoît Delhauteur
Belgium's Romelu Lukaku (C) gives a peptalk to his teammates before the start of a soccer game between Belgian national soccer team the Red Devils and England, Thursday 28 June 2018 in Kaliningrad, Russia, the third and last in Group G of the FIFA World Cup 2018. BELGA PHOTO DIRK WAEM
Belgium's Romelu Lukaku (C) gives a peptalk to his teammates before the start of a soccer game between Belgian national soccer team the Red Devils and England, Thursday 28 June 2018 in Kaliningrad, Russia, the third and last in Group G of the FIFA World Cup 2018. BELGA PHOTO DIRK WAEM ©BELGA

Jamais les Diables n’ont été autant en confiance au moment d’aborder la phase d’élimination directe. Analyse de leurs atouts, à la lumière des explications de Roberto Martinez et de ce qu’on a vu, de Sotchi à Kaliningrad C’est le début des choses sérieuses. Jusqu’où iront les Diables ? Cest la question à un million d’euros (ou plutôt à 445.000, soit la prime de chaque joueur).

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...