Carnet de bord de Rik Verbrugghe Directeur sportif de l’équipe Bahrain-Merida 12 juillet 2018

"Très loin des standards du football par exemple, nous ne sommes pas toujours logés dans des hôtels de grand luxe sur le Tour de France. Mercredi soir, c’est par exemple un hôtel deux étoiles d’une chaîne française connue qui nous accueillait pour la nuit. L’endroit était correct mais les chambres n’étaient vraiment pas très grandes. Et lorsqu’on sait que les coureurs sont logés à deux par chambre… Sur l’ensemble de l’épreuve, l’organisation veille à une réelle équité puisque le total du nombre d’étoiles des hôtels fréquentés par chaque équipe doit être égal. Pour parer à toute éventualité, nous nous déplaçons avec des climatiseurs portatifs qui peuvent être installés rapidement et facilement dans les chambres. Nous disposons aussi d’humidificateurs d’air au cas où celui-ci serait trop sec dans les chambres. Les coureurs se déplacent quant à eux avec leur propre oreiller afin d’avoir le même confort de sommeil chaque soir."