Brève

Michael Franken
Ajax' Dusan Tadic and Standard's Razvan Marin fight for the ball during a soccer game between Dutch club AFC Ajax and Belgian team Standard de Liege, Tuesday 14 August 2018 in Amsterdam, the Netherlands, the return leg of the third qualifying round of the UEFA Champions League. The first leg resulted in a 2-2 draw. BELGA PHOTO VIRGINIE LEFOUR
Ajax' Dusan Tadic and Standard's Razvan Marin fight for the ball during a soccer game between Dutch club AFC Ajax and Belgian team Standard de Liege, Tuesday 14 August 2018 in Amsterdam, the Netherlands, the return leg of the third qualifying round of the UEFA Champions League. The first leg resulted in a 2-2 draw. BELGA PHOTO VIRGINIE LEFOUR ©BELGA

razvan marin Le métronome a été transparent Il a symbolisé la noyade de la ligne médiane. Théoriquement, Razvan Marin ne se cache pas sur un terrain et représente un appui de qualité pour ses équipiers. Mais mardi, il n’a gagné qu’un duel sur deux et, surtout, a souvent donné l’impression de subir le jeu. En première période, il a été incapable de se montrer, comme s’il était dépassé par le physique néerlandais et la rapidité du jeu. On a pratiquement revu le Razvan Marin d’il y a un an et demi, lorsqu’il ne donnait pas encore le sentiment d’avoir le coffre nécessaire pour s’imposer en Belgique. Durant les 45 premières minutes, ses passes étaient d’ailleurs données autant en retrait qu’en avant, alors qu’il est censé incarner la relance du jeu offensif. Son absence a considérablement pesé dans le jeu car les deux autres médians, tout aussi décevants que lui, n’ont bien entendu pas eu l’occasion de reprendre son rôle.

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