Brève

Belgium's Kevin De Bruyne and Belgium's Romelu Lukaku celebrate after scoring during a qualification game for the soccer World Cup 2018 between Belgian national soccer team Red devils and Estonian soccer team, on Sunday 13 November 2016, in Brussels. It's the fourth qualification game and Belgium was leading the group H with three victories in the first games. BELGA PHOTO DIRK WAEM
Belgium's Kevin De Bruyne and Belgium's Romelu Lukaku celebrate after scoring during a qualification game for the soccer World Cup 2018 between Belgian national soccer team Red devils and Estonian soccer team, on Sunday 13 November 2016, in Brussels. It's the fourth qualification game and Belgium was leading the group H with three victories in the first games. BELGA PHOTO DIRK WAEM ©BELGA

Belgique - Estonie : 8-1 (13/11/16) Quand De Bruyne a reculé pour mieux avancer Roberto Martinez est encore en phase de réflexion. Son choix d’évoluer avec un faux 9 quatre jours avant aux Pays-Bas (1-1) n’a pas convaincu. Quand Steven Defour et Youri Tielemans sont en balance pour épauler Axel Witsel, Kevin De Bruyne va finalement descendre d’un cran. Si la nature de l’opposition invite à relativiser ce résultat, l’ampleur de la démonstration pose les jalons de ce qui suivra tant le carré De Bruyne - Hazard - Mertens - Lukaku se veut magique. Et KDB affiche un visage inspiré qu’il n’avait plus montré depuis longtemps. "Les bons joueurs conviennent bien partout", justifie Martinez, "Kevin est intelligent et il a apporté de l’équilibre à l’équipe".

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.

Les articles les + lus

Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...