Les réactions du peloton après le Samyn Quaregnon-Dour
- Publié le 28-02-2018 à 09h24
- Mis à jour le 28-02-2018 à 10h08
Les réactions des coureurs après la course glacée du Samyn Quaregnon-Dour.
Stijn Vandenbergh d'AG2R-La Mondiale: "On aurait pu raccourcir" "D’habitude, j’aime bien le froid, mais là, c’était quand même très très froid ! Peut-être qu’on aurait pu diminuer dans le final, retirer un tour ou deux tours. Car je ne pense pas que ce soit bon pour la santé de faire un effort de cinq heures dans un tel froid. Même si cela allait encore sur le vélo. J’avais déjà eu plus froid sur une étape de Paris-Nice."
Maxime Monfort de Lotto-Soudal: "Ça allait" "Finalement, je n’ai pas eu si froid que cela sur le vélo. Quand il fait humide, on peut parfois avoir bien plus froid, même s’il fait dix degrés. Mais ce n’était quand même pas des conditions très saines pour courir. Là, après la course, j’ai mal à la gorge. À mon avis, je vais mettre plus de temps à récupérer que pour une course normale."
Jonas Van Genechten de Vital Concept: "Pas eu très froid"
"Cela a finalement été, cette course. Cette épreuve n’a pas été de tout repos, donc je me suis réchauffé assez rapidement et je n’ai pas eu très froid sur le vélo."
Hilaire Van der Schueren de Wanty Groupe Gobert: "C’était faisable"
"Pour moi, c’était faisable. Car l’air était sec. Il n’y avait pas de pluie. Et pas de verglas, ce qui aurait été dangereux. C’était donc faisable. La météo, c’est la même pour tout le monde : quand c’est chaud, c’est chaud, et quand c’est froid, c’est froid !"
Boris Vallée de Wanty Groupe Gobert: "Nous sommes des Belges !"
"C’était froid, très froid, et, à l’arrivée, je ne savais pas boire mon choco chaud ! Je peinais à le boire tellement je toussais. Mais, sur le vélo, cela passait encore. Même si ce n’était pas évident, surtout pour moi qui revenait du Tour d’Oman, avec une différence de quarante degrés. J’avais bien fait de mettre beaucoup de crème chauffante ! Mais nous sommes des Belges ! Nous sommes habitués au froid. Ce n’était pas comme s’il n’y avait eu que des Espagnols ou des coureurs habitués à des températures chaudes au départ."
